When Carlo Antonio Gondi, resident in Paris for the Grand Duke of
Tuscany during the 1670s, returned to Florence, he corresponded with
some Carmelite nuns with whom he had been in contact while in Paris. The
contacts probably can be explained by the fact that the nuns were spying
on Mme de Toscane, the Grand Duke’s estranged wife. Does that explain
some of the gifts sent to the Little Carmel of the rue du "Bouloir"?
These letters preserved in the Archivio di Stato of Florence also reveal that despite the very strict rules of their order, the Carmelite nuns were very well-informed about events at court and in the capital. Indeed, as my recent addition from Mlle de Montpensier reveals, "Elles avoient plus d'esprit, savoient plus de nouvelles."
[A brief side-bar in which the Grande Mademoiselle talks of these two Carmelites, and of the convent in general (added in September 2006):
I recently came upon my old notes about this Carmelite nun ironical wit adds sparkle to her correspondence with Gondi:
Back in 1651, Mlle de Montpensier often saw "Remecourt, fille d'honneur de Madame" [Marguerite de Lorraine, Duchesse d'Orléans, her stepmother and Mme de Guise's birth mother]. "Elle étoit bouffonne, et son esprit étoit tout à fait tourné à la raillerie; elle aimoit le monde, et si [cepandant] elle le quitta bientôt, car peu de temps après elle s'alla rendre carmélite au grand couvent de Paris. ... Elle y est demeurée la meilleure religieuse qui se puisse." (Mémoires, ed. Chéruel, 1, p. 310)
Years later, re the year 1669 (IV, pp. 82-83), Mademoiselle again talked about Remecourt -- this time she spelled it "Remenecour" -- who was now at the "Little Carmel" (IV, pp. 81-83); She told how the Carmel of the rue du Bouloir had come to be created; and she mentioned Gondi's other correspondent, Francoise de Reuville:
"C'est un nouveau couvent. A la guerre de Paris [the Fronde], le grand couvent de Saint-Jacques fut obligé de sortir pour rentrer dans la ville, et quoique ce soit de ces choses qui n'arrivent qu'en mille ans une fois, soit pour les prévenir dès que l'on les a crues possibles, ou pour une espèce d'infirmerie, lorsque leur air, qui est très-subtil étant sur le haut de Paris, seroit mauvais à quelque religieuse, pour ne pas sortir de la clôture et ne pas blesser la régularité d'un ordre aussi réglé que celui des carmélites, elles achetèrent une petite maison dans la rue du Bouloi, où l'on mit dix ou douze religieuses, comme un hospice, où toutefois il y avoit une chapelle, où étoit Notre-Seigneur. On y envoya soeur Thérèse de Jésus, autrement Remenecour, qui a été fille de ma belle-mère, dont j'ai parlé dans ces Mémoires. Il y avoit une fille de Rouen, qui a de l'esprit et qui savoit parler espagnol avant que d'être religieuse, beaucoup de personnes sachant cette langue à Rouen, par le grand commerce qui fait qu'il y a beaucoup d'Espagnols. [In a note, Chéreul accurately identifies her: "Il est probable que cette demoiselle de Rouen étoit la mère Françoise de la Croix, de la maison rouennaise Le Seigneur de Reuville."] La reine mère [Anne of Austria] y fut, qui les prit en amitié; elle y voulut fonder un salut à perpétuité le dimanche. Cette fondation leur donna envie de ne plus dépendre du grand couvent et d'en vouloir être séparées et de devenir un troisième couvent de carmélites à Paris. La reine mère donna là-dedans. Le grand couvent ne s'y opposa que médiocrement, voyant bien que l'on ne pouvoit résister aux volontés de la reine et ne voulant en cela que les choses à quoi leurs règles les obligeoient, leur étant indifférent, d'ailleurs, qu'il y ait un troisième couvent de leur ordre. La chose se décida, et elle firent le couvent du Bouloi [1664]. Je ne leur sais point d'autre nom.
"La reine mère y alloit souvent; elles la partageoient sur la fin avec le Val-de-Grâce. Elles avoient plus d'esprit, savoient plus de nouvelles [in part, obviously, thanks to their contacts with the Florentine resident in Paris] et étoient plus proches du Louvre. ... La reine [Marie-Thérèse, wife of Louis XIV] y alla avec elle, au commencement; elle s'y accoutuma à cause de la supérieure qui parloit espagnol; ce fut son couvent. Comme il est très-petit, peu de gens y entroient. Elles étoient plus en liberté. Madame [d'Orléans] y alloit beaucoup aussi." ]
Now let us return to Gondi, Med. del Prin. 4783, letters he received from "Diversi" in France, 1682-1686:
Letters from "Mme de la Croix Renville, Carmelite" (the Prioress) and
others from Thérèse Remencourt, Carmelite". (In my notes I did not
always note which nun had written a given letter.)
The correspondence
begins with gossip about the Grand Duchess of Tuscany and how she
"hates" the Carmelites. (Small wonder, for she was very much aware that
they were spying on her and recounting every shortcoming to Gondi.)
Thus, on 9 November 1682, the nun observed that "... Mme la grande
duchesse tousjour nous haissant..."
On 11 December 1682, the Carmelite sent Gondi some gossip about the death of Mlle de Guise’s sister, the abbess of Montmartre:
"Vous saures par asses d'autre personne la mort de Mme de Montmartre ainsy je laisseres cett article qui fait la plus grande nouvelle de cette ville depuis plusieurs jours. ... on dit que Mme la grande duchesse ne demeurera pas à Montmatre sy cett un autre que Mme d'arcourt [Harcourt, who does indeed become abbess] ait l'abaye. L'on dit qu'elle yra au val de Grace."
On 24 March 1683, Mother Thérèse alludes to how nice the Grande Mademoiselle has been to them recently. (She talks about diamonds, but does if she is aware of their origin, she refrains from telling Gondi that they were part of "booty" that had come to the Grande Mademoiselle when she won a lengthy lawsuit against Mlle de Guise!):
"Mademoiselle a fait faire une attache de tous ces beaux diamants. Elle m'a promis de me la faire voir. Elle fait aussi mettre en oeuvre un diamant brutte qui seroit d''un prix inestimable si on le pouvoit tailler. Il fut donné en mariage à feue Madame sa mere pour vint mille pistolle."
On 5 September 1683, there was the usual gossip about the Grand Duchess: "Mme la grande duchesse est à Sainte Mesme. Elle nous hait tousjour esgallement." The phrase was repeated on 21 October 1683: "Mme la grande duchesse est à Ste Mesme et Mme de Guise à Allançon." On 14 November 1683, the whereabouts of Mme de Guise were once again transmitted to Gondi: "Madame de Guise est de retuer d'Alançon mais elle est encor à Versaille. Elle n'est pas à Paris ben sur."
So focused was Mother Renville on the doings of the Grand Duchess and her sister, that she neglected to tell to Gondi the splendid memorial service for Queen Marie-Thérèse held in their church on December 20, 1683, and ornamented with music by Marc-Antoine Charpentier! She did, however, gossip about the late Queen. For example, on 6 August 1684, she wrote about Marie-Thérèse’s debts. The Queen’s close ties to Mme de Guise can be seen in the fact that some of these debts were owed to Mme de Guise’s secretary, Jacques Pinette de Charmoy. Mme de Guise hastened to reimburse her householder for entire loan. The Carmelite – manifestly annoyed by Mme de Guise’s growing disaffection with the Little Carmel – cannot conceal her annoyance with this particular royal princess:
"Comme elle [Marie-Thérèse] ne pansait pas mourir elle ne pansoit qu'à s'aquiter des choses dont on la pres[s]oit d'avantage, esperant dans la suitte par les graces qu'elle recevoit tous les ans satisfaire au reste. Sa maladie a esté tout d'un coup si acablante qu'elle n'a peu escrire de sa propre main ce qu'elle devoit. Les dettes consiste en des parties de marchans qui luy ont fourny des etoffes pour ces parans et en des personnes qui luy ont preté pour le mesme sujet. Outre tout cela Mr de Charmoy [Mme de Guise’s secretary] luy avoit presté depuis plusieurs années [illegible] cens livres que Me de Guise a eu la bonté de faire payer quoy qu'il y ait lomtemps qu'elle ne nous a point honorée de ces visites. Elle n'a pas laissé de m'onorer d'un de ces lettres à la more de nostre pauvre defunte. Elle a eu la charité de faire payer son secretaire. ...."
It turned out that Tuscan Resident Zipoli was also involved in helping to get this debt paid. In fact, the Grand Duke was expected to do something about it.
Gondi’s subsequent reply not only reveals that Cosimo III did indeed contribute to paying these debts; it also sheds light on the "duties" of a high noble toward her householders: "J'ay esté fort ediffié," he wrote, "de la resolution de Made de Guise de vous escrire et de s'acquiter de ses devoirs envers nostre deffuncte cy-dessus nommée sur ce qui regard precisement Mr de Charmoy, car en cela son equité exigeoit bien d'elle d'en fare autant."
On 5 August 1685 (Med. del Prin., 4825) Gondi filed away a document
titled: "memorandum of the debts of Madre Teresa de Remoncourt." It is
not clear why he was sent this memorandum. But we know that Resident
Zipoli paid the following bills, which included payments to silk and
woolen merchants, sellers of gold and silver lace, a painter and even a
goldsmith! The total paid was a very impressive 4007 livres! Were these
rewards to the Carmelites for their spying and their gossip?
"Pour
une personne de pieté, 495; Comtesse de Lisle, 330; Mons de Guilloire,
330; Mme de Malaisy, 200; M. Valenti, 110; attaché, 447; Le Marchand
Chauvain, 256; Bequet, Marchand de soie, 204; Marsoulier, marchand de
soie, 150; Philippe, marchand de dentelles d'or et d'argent, 381; veuve
Barat, 200; Petit, Marchand drapier, 129; Goblin, marchand de soie,
velours noir, 400; Godin, orfevrerie, 200; M. André, peintre, 110."
A bit over a year later, 10 November 1686, Renville poured out her dislike of Mme de Guise to Gondi:
"On dit que Me de Guise demeurera à Alanson jusque à Noel. Elle y a fait une establissement des filles de Me de Miramion pour que les dames de la province y allent faire des retraittes. Me la Gde duchesse [Mme de Guise’s sister, the Grand Duchess of Tuscany] va tous les jours à Luxsanbourg dans son apartement comme sy elle y estoit et les dames qui ont acoutumé de jouer avec quelle [read: "avec elle] s'y trouvent. Elle ne pert aucune ocation de faire paroistre le chagrin qu'elle a contre nous, car allant ches Mlle [the Grande Mademoiselle] elle joignit Mr de Rolinde pour luy dire qu'il avoit le goust bien mauvais d'avoir laissé entre[r] sa belle fille dans notre couvent qu'il devet l'en faire sortir par force."
Here are more letters to Gondi, preserved in Med. del Prin., 4785, (1687-89)
On 15 February 1688, there is a letter to Gondi about a "present" that the nuns had received from Florence:
"J'ay receu Monseigneur avec une extreme reconnoissance le damas que V.A.S. nous a fait l'honneur de nous envoyer cest un presant tres considerable et par la beauté et par la grande quantité. enfin Monseigneur, V.A.S. fait en toutes ocations parestre sa magnifisance et sa grandeur. Voilla des beaux ornements pour nostre eglise et de quoy conserver une memoire immortelle de ces bontés et de sa pieté, tant qu'il y aura des filles de nostre grande Ste Terese, en cette maison elles se souviendrons de ces biens faits et de manderons à dieu milles benedictions pour V.A.S. et pour son auguste posterité afin qu'elle luy resemble en sagesse, en grandeur et pieté . En mon particulier j'ose dire à V.A.S. que cette nouvelle marque de sa consideration m'a donné la plus sensible joye du monde et qu'elle m'est infiniement precieuse et qu'elle me randra justice d'estre persuadée qu'on ne peut rien adjouer au zelle que j'ay pour tout ce qui la regarde ny au profond respect avec lequel je suis sa tres humble tres obeissante et tres obligée servante Soeur Françoise de la Croix de Renville.
[P.s] Ma Sr Louise Elisabet d'Ardene qui a l'honneur d'estre conuee de V.A.S. ose l'assurer de sa reconnoissance infine aussy bien que de son profond respect. Mademoiselle de Guise est malade tres perileusement. On dit que c'est d'un cancer qu'elle a depuis dix sept ans.[signed] Mere de la Croix de Renville, prieure des Carmelites... Paris.
On 20 January 1687, Renville told Gondi about the magnificent worship service that Mlle de Guise had sponsored that very day at the new abbey church of Montmartre – situated on the opposite side of the city from the Little Carmel. The nun chalks it all up to rivalry:
"tous les Tedeums que l'on a chantés en aaction de grace pour l'heureuse santé du Roy, tous les corps on[t] fait, à qui mieux mieux à l'envie l'un de l'autre. Mlle de Guise en fait chanter un aujourd'huy à Monmartre avec une musique la plus excellante du monde. Mr et Me s'y doivent trouver et tout ce qu'il y a de personnes de qualité à Paris. Elle donne aussi une grande colation. On ne sauroit jamais expliquer le zelle et l'affection que tous les françois on[t] fait paroitre pour le roy."
On 3 February 1687, Gondi was sent news about other fêtes celebrating Louis XIV’s recovery from an anal fistuala. Renville focused less on the fête at the Hôtel de Ville (she does not say so, but Mme de Guise attended) than on the King’s desire to expunge all memories of the Fronde:
"Le Roy de son costé a paru sy touchè du zelle et de l'affection de ces sujets qu'il le faisoit paroitre par son air contant et satifait. Il a fait oster de l'hotel de ville plusieurs tableaux qu'on y avoit fait mettre où estoit marqué les choses principalles des revoltes qui estoient arivées il y a 38 ans. Il a aussy fait effacer une inscription qui estoit au bas de la statue de la place des victoires, disant qu'il ne vouloit pas qui demeurast rien qui en fist souvenir...."
Gondi’s minutes show that, on 22 August 1687, he wrote the Carmelite about the La Force-Briou elopement-marriage that was sending shockwaves through the court. He alluded to Mme de Guise’s loyalty to the people in her entourage:
"Si Mademoiselle [the Grande Mademoiselle] n'a point voulu recevoir les nouveaux mariés dans la maison du jardinier du Luxembourg, Mme de Guise apparement leur donner[a] retraite, si S.A.R continue d'avoir de la bonté pour cette fame comme elle a eu autres fois."
Only a few days earlier, 11 August 1687, Renville had told Gondi about the Grande Mademoiselle’s charitable activities:
"SAR Mademoiselle me fist l'honneur de me mander qu'elle l'avoit apris par les gacettes à la main [about something the prince of Tuscany had done]. Les fondations qu'elle fait des filles de la charité pour l'instruction des enfans et pour voir soin des malades luy coutent plus de cent milles ecus. La ville d'Eu ce trouve bien de ces charités. ..."
On 29 August 1687, Gondi was informed of plans to move the Little Carmel. Mother Renville saw this change as a comfort for the Grande Mademoiselle, who by now had replaced Mme de Guise in their hearts:
"Nous avons achetés depuis 2 jours une grande place au faubourt St. Germain où il y a des jardins admirables et une maison fort raisonnable. Il y a 2 ans que nous avions ce dessein, mais ce qui nous a pressé de l'executer c'est que les fermiers de la douane ont acheté l'hautel Seguier pour y etablir la douaine. Vous qui connoisses les lieux vous souviendres bien que le jardin est vis à vis de nostre eglise. Ils font de ce jardin une court et ouvrent 2 grandes portes , de sorte que toutes ls rouliers passeront par la et se sera un sy grand bruit que l'on ne poura pas tranquillement faire le service dans notre eglise. Tous nos amis et amies nous l'ont conseillé et le Roy la trouve bon, aussy bien il estoit preque impossible de nous acroitre à cause de la charté des places. Mlle en sera extremement aise car aymant venir prier Dieu tranquillement ches nous, elle est bien aise d'avoir un jardin pour ce promener. Il nous faudra bien six mois pour mettre les lieux en estat. Cette maison avec les droits qu'il faut payer reviendra à plus de quarante milles ecus. Nous esperons que les places que nous ocupons nous vaudront bien davantage. ... Tous nos amis vont en foule visiter la maison que nous avons achetée. Ils en sont charmées, c'est la plus belle solitude du monde."
On 22 September 1687, she added that "Il y a les plus beaux et les meilleurs fruits du monde dans nos jardins. J'en ay fait gouster à Mr Zipoli."
On 7 October 1687, came a letter from Renville to Gondy about courtly entertainments and the latest styles:
"Les dames de la court qui c'estoient acoutumées à aller à la comedie à Versialle en echarpe et sans corps, avoient trouvé une sy grande comaudité à y aller de cette maniere en desabiller qu'elle ce servoient toutes de cette liberté et ne ce metoient plus en rend [read: rang] aupres de Me la Daufine, mais dans une tribune en sorte que personne n'estoit plus en rend [rang] et madame la Daufine estoit seulle, ce qui estoit contrarire à sa dignité. Le roy a fait dire qu'il ne vouloit plus qu'on alla en ces lieux en escharpe mais qu'on fust abillé et qu'on se mi en rend. ...
The nuns are, Renville added, all prepared to move. They will take
their cemetery with them:
"quand nous quitterons notre maison pour
aller à celle du faubourg St. Germain, nous enporterons dans des
chariots touts nos mortes acompagnés de prestres. Come il sera l'esté,
on part dès 2 heures du matin pour eviter le monde."
The Carmelite sent off more worldly gossip to Florence on 8 February 1688:
"La nouvelle du temps est le mariage de Mlle de la Force, celle qui estoit fille dhoneur de Me la Daufine. Elle espous le fils de Mr le conte du Roulle et en faveur du mariage on luy donne la survivance des charges de Mr son pere, et le Roy donne cent milles frans d'argeant et augmente la pension qu'elle avoit comme nouvelle catholique de mille ecus...."
On 8 March 1688, after observing that the weather had been as nice as it normally was in April, the nun poured out to Gondy all the gossip she had accumulated about Mlle de Guise’s death five days earlier:
"je ne say si vous saures l'extremité de la maladie de Mlle de Guise. Elle mourut le mercredy des cendre sur les dix heures du matin. Elle a sy fort caché son mal que personne n'a seu qu'elle avoit un canser. On dit qu'elle l'avoit depuis dix ans et qu'il c'estoit ouvert depuis 4 mois, cepandant on na parlé du danger de son mal que depuis un mois, et encore ce n'estoit pas ches elle, car toutes les fois que Mademoiselle l'alloit voir elle luy disoit que son mal n'estoit qu'un rumatisme sur le bras, et elle estoit levée desus un petit lit enfin elle n'a point voulu envisager la mort ny que l'on l'en crut proche. Elle a fait un testament et trois codisilles, le dernier fust dix heures avant sa mort par lequel elle donne au Roy sa tapiserie des ages qui est fort belle et son lit de velours cramoisy en broderie de perlle. Elle avoit donné ces 2 piesses dans son premier testament à Mr le duc de Loraine, par un codicille elle ordonnoit qu'on le vandit et sa derniere volonté est comme je vous la marque. Elle oste tout à SAR [that is, the Grande Mademoiselle] car elle a donné le duché de Joyeuse à Mr. le prince de Comercy et les autres biens de cette maison qui luy apartenoient comme heritiere. Elle a tout distribué ... J'oubliois à vous dire que Mlle de Guise a laissé à Me de Guise une terre proche de Notre Dame de Liesse pour jouir sa vie durant, qui depant de la duché de Jainville [read: Joinville: like Mlle de Guise herself, the Carmelite pronounced Joinville as if it were written "jain" or "gin"]....."
On 15 March, the Carmelite informed Gondi that the crystals and agates that Mlle de Guise had willed to the Grande Mademoiselle were worth 2000 pistoles... "et il luy apartenoit naturellement plus de deux millions."