Panat in postcardThe Ranums'

Panat Times

Volume 1, redone Dec. 2014

Contents

Volume 1

Panat

Orest's Pages

Patricia's Musings

Marc-Antoine

Charpentier

Musical Rhetoric

Transcribed Sources


 

Philippe Goibaut du Bois: three letters and an inventory

Known familiarly as "Monsieur Du Bois," Philippe Goibaut, sieur des Bois La Grugère (or, sometimes, Du Bois la Grugère) was a gentleman from Poitou. He spent two decades auprès de Mlle de Guise, first as "governor" or "precepteur to her nephew, Louis-Joseph de Lorraine, Duke of Guise, and then as "chapel master" and director of the Guise Music. For a "portrait of Monsieur Du Bois, see Patricia Ranum's Portraits around Marc-Antoine Charpentier (available at Amazon.com, see below)

Patricia is reproducing here three letters, plus excerpts from his will and from his death inventory of 1694. Together, these Fugitive Pieces give us some idea of how this influential householder talked, thought, and lived from day to day.

Advice to the young Duke of Guise:

In a letter written pre-1671 to Louis-Joseph de Lorraine, whom he was preparing for a life at court, Du Bois emphasizes the importance of reading.

Comme Votre Altesse m’attaque par mes propres parolles, je pouvois aussy me deffendre par les siennes; et Elle se souviendra bien de ce qu’Elle m’escroivoit hier qu’il n’y avoit rien de si diversifié que le livre de Montagne [Montaigne]. Il est certain qu’il n’y eut jamais d’homme que l’on peut moins accuser d’estre homme de metier que celuy-là, et il seroit difficile de le deviner en lisant ses ouvrages. Il prend à tasche partout ceux qui le sont tant soit peu, et ne leur donne point de repos, non pas mesme à ceux qui sont du plus beau metier du monde, c’est à dire qui commandent aux autres; et il les advertit en cent endroits de ne pas tant songer à faire les rois qu’ils ne se souviennent qu’ils sont hommes, et ne craindre point de se rabbaisser quelques fois jusques à vivre. En verité, Monseigneur, il a raison; et quand Votre Altesse voudra penser, Elle verra que tout notre temps s’employ aux exercises, aux ceremonies, aux affaires. On ne pense qu’à cela, et à vivre point du tout, et voila ce qui fait que l’on est homme de metier. On fait capital des choses qui ne se devront regarder que comme des ornements superficiels qui donnent quelque lustre à la vie; mais on neglige ce qui en fait le veritable prix. On veut estre bon chasseur, bon danseur, bon ecuyer, et on ne se soucie pas de savoir bien juger et d’avoir des sentiments droits, justes, et honnestes sur toutes choses. Cependant, Monseigneur, c’est cela seul qui fait ses [sic] belles vies, et un homme pourroit avoir eté perclus de tous ses membres depuis la jeunesse, avoir mené la plus belle vie du monde et la plus digne d’estre admiré de tous les autres; car il suffit, pour cela, d’avoir eu la teste saine et le coeur bienfait, au lieu que quand cela manque, tout ce que vous pouvés avoir fait ne merite pas qu’on s’en souvienne.

Je serois de votre advis, Monseigneur, si l’on pouvoit trouver des conversations telles qu’on les pourroit souhaitter; et il est certain que si cela estoit, on n’auroit guere affaire de livres. Mais nous ne sçavons que trop que cela n’est pas, et qu’il ne faut que voir comment sont faits les gens qui ne lisent point, et qui passent leur vie à aller de maison en maison et de ruelle en ruelle. Il est sans doutte qu’ils ne sçauroient devenir tout au plus qu’aussy habiles que ceux qu’ils frequentent, car on ne sçauroit tirer d’eux que ce qui y est; et de là vient que tous les gens du monde sont à peu près faits de la mesme maniere, ils se forment tous les uns sur les autres, et ainsy ils sont bornés à une certain portée, au dessus de laquelle ils ne sçauroient s’elever sans quelque secours extraordinaire qui ne sçauroit estre pour la plus part que celluy des livres. Il y a, je trouve, à la verité, quelques gents qui naissent avec de si grands avantages d’esprit qu’il ne leur faut point d’aide pour s’elever, et qui trouvent en eux mesmes assés de force pour se passer de ce qu’ils pourroient emprunter de la lecture; mais cela est si rare qu’il ne faut pas prendre ses mesures là dessus. Il faut mesme que ces gents-là passent leur vie à mediter, et qu’ils soient de profession à pouvoir s’y appliquer tous entiers; et c’est ce qui ne convient pas aux personnes de grande qualité, qui n’ont pas assés de loisir, et qui sont obligés de faire provision de bonne heure des choses dont ils ont besoin pour bien jouer leur roole dans le monde. Ils doivent donc estre bon menagers de leur tems, et ramasser de touttes parts et de la lecture et de la conversation et de leur propres reflexions, un grand fond d’habilité et de connoissances, pour pouvoir se mettre dans l’action avec une juste confiance d’y reussir.

(Source: The original of the following document is lost, but a copy was made by Goibaut’s physician friend, Noël Vallant, BnF, ms. fr. 17048, fols 195-97. Punctuation and a few capitals have been added)

 

A petition to Mlle de Guise:

A letter that Du Bois wrote to Mlle de Guise in September 1677 speaks eloquently of how this skilled courtier ent about obtaining a "grâce" from Her Highness.

Il est bien juste, Mademoiselle, qu’estant aussi heureux que je le suis par les bien faicts de Votre Altesse, ma reconoissance ne demeure pas toute renfermée dans mon coeur. Je la supplie donc tres humblement de me permettre de luy dire que, mesme sans mettre en compte l’attachement que j’ay pour Elle, qui faict assurement la plus grande partie de mon bonheur, ma condition d’ailleurs est telle qu’il n’y en a point au monde pour laquelle je la voulusse changer. Votre Altesse me ne laisse rien à souhaitter, et je trouve abondament dans ce qu’elle me faict l’honneur de me donner, de quoy fournir à toutes les commodités dont je puis avoir besoin, et mesme à celle d’un carosse, qui est la plus grande et la plus necessaires de toutes.

Mais je ne puis avoir celle-là, Mademoiselle, si Votre Altesse ne trouve bon que j’ay mon carosse et mes chevaux dans l’hotel [de Guise]. C’est la seule grace que j’ay à luy demander pour cela, et si j’ose prendre cette liberté, ce n’est ny pour espargner le loyer d’une remise et d’une escurie, ni pour eviter d’avoir son equipage loing de soy, mais c’est uniquement par ce qu’on ne sçauroit faire vivre un cocher dans l’ordre à moins de l’avoir sous ses yeux, et que ces gens-là, sous pretexte d’estre à leurs chevaux, sont continuellement dehors, exposés à toutes sortes de desordres, ce qui seroit pour moy une inquietude pire que d’estre sans carosse.

Il y a plusieurs remises vuides: celle où estoit la caleche de M. d’Authun [Gabriel Roquette, bishop of Autun], celle qu’ocupoit le carosse de la fille de Madame Bruneau [probably the widow of Jean Bruneau, the secretary to Mlle de Guise's late mother], un autre dont Monsieur Gadrès [Gadret, the concierge] se sert, l’ayant trouvé inutile, sans compter que dans celle du grand carosse des femmes il y aisement place pour deux carosses.

J’ose donc esperer, Mademoiselle, que Votre Altesse me fera l’honneur de m’acorder la grace que je luy demande, ce que je luy demande à genoux, comme le plus grand bien qu’Elle puisse adjouter à tous ceux qu’Elle m’a faicts, et par où elle mettra la combe au repos et à la douceur de ma vie, qui ne sçauroit etre mieux employé qu’à rendre, de Votre Altesse, les respects et les services que je luy dois par tant de titres, dont la reconoissance est le moindre, quoy que personne n’ait tant de sujet d’en avoir pour Elle. ...

Si Votre Altesse me faict l’honneur de m’acorder la grace que je luy demande, je mettray touttes choses en estat, sans qu’Elle entende plus parler de rien, et feray si bien que cela ne luy sera d’aucune incomodité, et sera mesme de quelque soulagement pour ses chevaux, qui n’aurant plus la peine de voiturer ny M. Vallant ny moy.

Son tres humble et res obeyssant
tres obligé serviteur

Dubois

(Source: The original is lost, but a copy by Vallant has survived, BnF, ms. fr. 17050, fol. 186.)

 

Worries about his coach:

Du Bois’s coach remained a preoccupation. On October 8, 1680, Du Bois was at Mlle de Guise’s country estate of Marchais, near Liesse, for he and the Guise Music were traveling with Her Highness and her sister, the Abbess, on a progress through Champagne and on to Guise. Du Bois sent a message to Dr. Vallant, back in Paris. He reported first on the Abbess's health, and then he  turned to his coach:

Nous arrivasmes icy hier au soir, où nous trouvasmes touttes choses dans un grand desordre. Dieu veuille que nous nous en tirions bien.

Madame de Montmartre se porte toujours de mieux en mieux, et ses jambes se fortifent. Elle a neantmoins tousiours une sorte de devoyement qui la fait suer une ou deux fois la nuict, matieres glaireuses et peu de bile. Ce n’est pas que son regime ne soit fort exact, car elle ne mange à disner qu’une cusse de poulet bouilly et une aile et un blanc de perdrix. Cela demanderoit peut estre quelque petit remede qui sera ce que vous ordonnerés, pour veu que ce soit quelque chose qu’on puisse prendre sans qu’il y paroisse et par là vous voyez bien que le sirop de chicorée composé est esclus. [Vallant was known for his purges!]

Quand vous repondrez là dessus, il faut, s’il vous plait, que ce soit à moy; car c’est moy seule qui vous en ecris, pour des raisons que vous pouvez bien juger. Madame [de Montmartre] va mardy à Reims; elle y sejournera mercredy et sera de retour icy jeudy. Je croyois y aller avec elle, mais les choses ne s’y sont pas trouvées disposées.

Je vous supplie de dire à Chevreux [his valet] qu’il serre soigneusement tout ce qu’on ostera de vieux de mon carosse, et qu’il en tienne une memoire aussy bien que de toutte la ferrure qui pourra servir, et ce qu’il en faudra refaire de neufve ... Adieu, Monseiur, j’ay prié Dieu pour vous. Je [illegible] à Nostre Dame de Liesse. Je vous embrasse mille fois.

 

A few days earlier, Du Bois had implored Vallant as follows:

Dittes, je vous supplie, à Cheveux, qu'il ait soin de faire depecher mon carosse, et qu'il ait l'oeil sur l'ouvrage, affin qu'il soit fort beau et fait à profit, et que quand il s'agira d'acheter les cuirs et les clou doré, il prenne garde d'avoir du meilleur et de n'etre pas trompé.

(Source: BnF, ms. fr. 17050, fols 337 and 368, autograph)

 

Monsieur Du Bois's testament and inventory:

After Du Bois's death in 1694, his will and several handwritten statements were turned over to the notary, who subsequently made an inventory of Du Bois's possessions.

One of the statements was dated April 5, 1677. With his wife’s recent death on his mind, Du Bois wrote:

Il se trouvera parmy mes livres les figures de la Bible, un tome de la perpetuité relié en maroquin, la cronologie françoise en 5 [??] volumes in-12, un concordance de Lion, deux livres de voyages hollandois, et deux paires d’heures de velin, qui appartiennent à S.A. Mademoiselle [de Guise].

Le cabinet d’ebene qui est dans ma chambre est venue de Madame de la Vieuville [??], qui le donnea ou presta à feu ma femme; si c’est ce dernier, il la [sic] faut rendre.

Dans une cassette de ce cabinet il y a un petit quadran d’argent qui estoit à feu Monseigneur [Louis-Joseph de Guise] qui me le faizoit porter, et une petite boiste d’argent fermant à viz qui est à S.A. Mademoiselle."

His bed was rented from Gadret, the concierge: "le louage du lit où je couche ... et la tapisserie de ma chambre"; and he wants Gadret to be paid, even if Gadret claims "qu’il me la prêtoit."

He refers to several servants: a copyist called Claude Neri (who would be described as his valet de chambre in 1694), a valet called Chevreux (to whom Du Bois had entrusted the oversight of repairs to his coach), and a chambermaid named Marie Hulin, widow of Pierre de Sene.

He willed Presidi, Mlle de Guise’s surgeon, 300 livres, and 300 livres to "M. de la Chaize, pour marque de notre ancienne amitié" – but as a pension so it cannot be seized by creditors. (This "old friend" can scarcely be his crony of 1687, Père de la Chaize, for the Jesuit had only been in Paris for two years when this document was written.) Half Du Bois’s estate would go to "M. Vallant, mon medecin et mon bon ami." Vallant and La Chaize would divide his papers between them.

March 5, 1685, Du Bois – "malade de corps, estant dans une chambre au premier estage, assis dans une chaise aupres du feu, et neantmoins sain d’esprit, de memoire et de jugement" – dictated a new will, asking to be buried in the cemetery of Saint-Jean-en-Grève, "sans ceremonie, et dans la simplicité des plus pauvres."

Of his dear friend, Dr. Vallant, the notary recounted the Doctor’s generosity – transforming Du Bois’s first person statement into an impersonal third person: "l’estroite amitié qui est entre eux depuis plus de vingt cinq ans, et en consideration des bons offices qu’il luy a rendus, en toutes sortes d’occasions, tant comme son medecin, que comme son amy particulier, mesmes jusqu’à avancer ses propres deniers, pour faire plaisir audit sieur testateur, la somme de treize mil livres pour l’impression de la traduction des lettres de saint Augustin, à ses risques, perils, et fortunes, ne pouvant avoir sa recompence que sur les deniers qui pourront provenir du debit des livres de ladite impression."

July 5, 1694, Du Bois’s death inventory was begun, with the help of Claude Neri, Louis Batteau, his lackey, and Jacqueline Garlier, his servante. The contents of the principal rooms this apartment will be summarized here, to give an idea of what it was like to visit the lodging of this protégé of Mlle de Guise’s, this neighbor of Marc-Antoine Charpentier, this neighbor of Roger de Gaignières:

In the kitchen, cooking equipment was stored under the steps, and coal was near at hand. Servants’ rooms were furnished with old and somewhat shabby furniture.

On the premier étage, in a "petite garderobe ayant vue sur la cour" – where an ailing Du Bois clearly was spending much of his time – stood a "tabouret de commodité couvert de moquane, petit ecran de taffetas ver[t] picqué, un dossier à malade, un seringue d’etain, une bassinoire et une petite cuvette."

In the "salle attenante" were a "table en noyer, 6 side chairs de noyer foncés de paille," and three others side chairs with cloth seats; plus 2 old side chairs covered with satin de Bruge aurore et ver[t]. There were also 2 large armchairs "couverts de tapisseries,... avec une petitte table de bois de noyer pour malade" and a "gros carreau de plume couvert de tapisserie."

A nearby bedroom, with a fireplace, contained a "fusil," 7 arm chairs and 6 side chairs, all of walnut, with "housses de vieille serge rouge." White hemp curtains hung at the window, and an armchair à cremaillière, upholstered in gros point, matched a cushion with the same needlepoint.

A "petit cabinet à costé" housed a walnut desk, 4 side chairs – each with a chintz-covered feathered cushion – and a lit de sangle with a chintz spread. There was also a "cassette de bois de cedre" and a "pupitre en noyer."

The notary finally reached Du Bois’s bedroom, which also had a fireplace. There he found 2 tables and 3 gueridons, all of walnut; a screen covered with grey serge; 5 side chairs and an armchair in walnut, à la capucine," with straw seats and feather cushions in "serge minime." White linen curtains hung at the window. There was a little miroir de toilette, a pillared bed with a "tour de la couche en forme d’ange de serge d’Aumalle minime." The walls were covered with "serge de Laon," and the alcove curtains were of the same material, "couleur minime."

Du Bois had died in another room, also equipped with a fireplace. The furnishings included a little folding table made of ash, and two matching chassis with paillassons covered with green "toile piquée." There was a round table; a gueridon; 6 sidechairs and an armchair, all in walnut, with green serge slipcovers; a sangle bed with an old green serge cover; an oak bedstead hung with green serge from Aumale; and three pieces of Flemish verdure tapestry, plus a fourth that did not match.

Although the description of Du Bois’s clothing is terse, we know that he wore brown, greenish-brown, or black, sometimes of satin; and that his quilted robe de chambre was Chinese satin, with a lining of green taffeta. His cravattes and manchettes were of "ancien point de France."

The contents of the "salle attenant le cabinet" are especially revealing. On the wall hung 2 landscapes and 8 portraits: there was a pastel of Mlle de Guise and one of Mme de Montmartre, an oil portrait of Mlle de Guise and six other unidentified portraits, all in gilt frames. In this room Du Bois kept many his most precious possessions, secure in one of three pieces of furniture: one was a "cabinet façon d’Allemagne à deux guichets," another was a "bahut rond de la Chine." The notary found "un petit Jesus de cire dans une boiste garny de cinq vers," a "pendule garny de ses mouvemens, dans une boite d’ebene noir garny d’ornements de cuivre doré"; and another "pendule sur pied de chene" in a "boite de bois de cedre," complete with its "mouvements à repetition." An ebony cabinet contained a "couvre-pied gris" with an ermine border; an armoire held a collection of boxes, some of ivory, others of tortise shell, plus an agate cane-head and a crystal flagon with a gilded copper stopper.

Du Bois’s cabinet also housed some fine objects. The furniture included 2 armchairs in "bois verny lachiné," with green-striped satin cushions; green curtains at the window; a caned English-style chair in dark walnut; and a walnut armchair upholstered in cuir de Russie. Three little tables and writing stands stood near at hand. In this room Du Bois kept three canes made of precious woods, alabaster candlesticks, hourglasses, and 2 more pendules, one in an ebony case, the other in a tortise-shell case with marqueterie. His papers stayed in place thanks to "six pois de marbre pour papiers." Here he kept his "basse de violle avec deux archets." He owned sundials, and marble morters and pestles. From the walls, four portraits in gilded frames watched him: one, "en grand," of Mlle de Guise; one, "en buste," of Monsieur de Guise; one of St Charles Borromeo, and one of St François de Salle. His silver created a lavish effect, for it consisted of plates, goblets, flatware, flambeaux, écuelles, a chocolatier, 2 inkwells, a poudrier, a porte-crayon, and a porte-plume bearing a "cachet du nom de Jésus." He also owned some objects in vermeil, some gold medals of Christ and the Virgin, and 60 jetons received for attending sessions at the Academy Française. There were also items made of precious materials: reliquaries, crosses, crucifixes, and a "cassolette de cuivre avec un petit Christ d’ivoire sur une croix d’ebene."

The inventory of Du Bois’s library is frustrating, as most inventories are: the books were grouped into bundles and only the top volume was identified. We therefore know that Philippe Goibaut owned "1 Semaine Sainte du Port Royal," a "paire d’heures du Port Royal; and that his library included music that doubtlessly was performed for Mlle de Guise: "un paquet coté R de 16 volumes de musique dont motets de Dumont ... 3 livres"; "un paquet coté Q de 21 volumes de musique, dont motets de Lully, et autres ... 4 livres"; and "un paquet coté S de 19 volumes de motets [sic] de Lambert ... 3 livres." Fifty-six volumes of music in all, but only three of them identified!

At the time of his death Du Bois owned 2 "chevaux hongres noirs"; but no mention was made of his coach.

 (Source: AN, MC, LXXV, 400, cinq pièces déposée le 13 juillet 1694)