This letter suggests the tone that would have characterized a face-to-face meeting between this pious petite-fille de France and a prelate. Madame de Guise's residence, the Luxembourg, was situated in the parish of Saint-Sulpice, and she was working very closely with Curate Tronson on charitable matters. Hence her request that a "wicked" girl be confined to the Petites Maisons, that is, the insane asylum of Paris.
Source: BnF, ms. fr.
17414, correspondence of François Harlay
de Chanvallon, archibishop
of Paris, fol. 192
(written by a secretary, signed by Her Royal
Highness)
Alençon, September 12, 1678
L'on m'oblige, Monsieur, de vous escrire pour implore vostre protection contre la violence d'une fille nommée Marie Coste qui a esté despuis peu condanné au fouet et au banissement et qui n'a pas laissé d'aller ensuite dans son quartier proche St Sulpice, menacer Mr le Curé [Louis Tronson], une fort honneste damoiselle, et une soeur de la charité, de les tuer; comme c'est une fille determinée, cette pauvre soeur croyoit à tout moment qu'on alloit l'esgorger, maintenant que cette mechante fille est en prison et qu'il y a une place vaccante aux petites maisons, Je vous prie, Monsieur, de vouloir ordonner qu'elle y soit enfermés [sic], ce sera une affaire entierement finie, car à moins de la tenir tousjours en prison, il n'est que trop assuré qu'elle fera un mauvais coup. Vous donnerez la vie à ceux qu'elle a tant menacez [sic], et Mr le Curé sera fort en repos, je n'ai peu me dispenser de vous exposer la chose comme elle est, qu'un autre auroit peu representer aussi bien que moy, car ie sçay le zele que vous avez pour la justice ... [etc.]