Panat in postcardThe Ranums'

Panat Times

Volume 1, redone Dec. 2014

Contents

Volume 1

Panat

Orest's Pages

Patricia's Musings

Marc-Antoine

Charpentier

Musical Rhetoric

Transcribed Sources


 

Les visites pastorales

Pendant sa tenure, tout évêque était censé faire des visites d'inspection aux paroisses de son diocèse. Dans le cas de Panat, enclavé comme il était, chaque évêque s'y est rendu une seule fois — jusqu'à la nomination de Mgr Ernest Bourret, qui a envoyé une délégation en 1877, et est venu lui-même à deux reprises, en 1880 et encore en 1894.

On peut imaginer l'agitation générale associée avec ces visites. On balayait et astiquait l'église; sur le maître-autel on exposait les vases sacrés (calices, ciboires, ostensoirs, vases aux saintes huiles); et dans le sanctuaire — c'est à dire, à l'intérieur de la balustrade et près du maître-autel — on "étalait" les ornements (dalmatiques, chapes, écharpes, voiles, parements d'autel). Bien entendu, tout cela allait faciliter l'inspection, mais cela décorait aussi l'église comme pour une fête.

On peut imaginer aussi l'étonnement des paroissiens assemblés, quand ils ont vu les chevaux qui montaient lentement depuis le Vallon, jusqu'au sommet du puy sur lequel est perché Panat. Les dix-sept chevaux de 1698 n'étaient sûrement pas exceptionnels, même au XIXe siècle, car même en 1885 on ne pouvait pas arriver à Panat en voiture. L'évêque, dans son pourpre, était toujours accompagné d'une "nombreuse suite," chaque individu portant la soutane ou la couleur qui indiquait son rang dans la hiérarchie ecclésiastique. Parmi ces assistants on comptait le vicaire général (le principal député de l'évêque), l'archidiacre (il administrait cette partie du diocèse), le secrétaire de l'évêque, quelques chanoines de la cathédrale, et "des prêtres."

En général, l'évêque commençait par le cimetière. Il entrait ensuite dans l'église pour prier, après quoi il examinait avec grande attention "les chapelles, les autels, les rétables, les pierres sacrées, les fonts baptismaux, les bénitiers, le confessional, la chaire, les balustres, les lampes, le lutrin, les bancs, les ornemens, les vases sacrés, le reliquaire, les croix et les encensoirs, les linges d'église, les livres de chant et les missels, et tout ce qui est nécessaire au culte divin."

Le prélat trouvait toujours au moins une insuffisance à laquelle la fabrique, le curé et les paroissiens devaient apporter remède. Par exemple:

En 1839 Mgr Giraud a annoncé qu'il fallait exhausser les murailles du cimetière. Il a trouvé aussi que les "bouquets" (des fleurs artificielles, sans doute) n'étaient plus dignes des dévotions qui se déroulaient dans la chapelle de Notre Dame. Le curé, qui aurait prévu d'avance cette dernière difficulté, a rassuré Sa Grandeur qu'on avait mis de côté la somme nécessaire pour "remplir incessament son désir." En revanche, le travail sur les murailles a traîné: on ne l'a terminé que le 15 mai 1846, quelques jours avant la prochaine inspection (p. 44).

En 1846, ayant trouvé que "le ciboire était trop petit," Mgr Crozier a "engagé les fidèles de Panat à s'en procurer un autre qui fut d'une plus grande dimension" (p. 45). Quelques mois plus tard, le curé a donc "renouvelé le ciboire et l'ostensoir qui étaient petits" (p. 46).

En 1868, Mgr Delalle a informé la fabrique "que la voûte de la nef devait être relevée et mise de niveau avec celle du sanctuaire" (p. 51). N'ayant pas l'argent nécessaire, la fabrique n'aurait pas entrepris ces travaux, préférant sans doute attendre la résolution du dilemme qu'on discutait avec vivacité: reconstruction? ou restauration? Sa Grandeur n'aimait pas non plus l'emplacement des statues dans la chapelle de Notre Dame. Les paroissiens ne les ont toutefois changées de place qu'en 1873: "Dans le courant de cette année la statue en plâtre donnée par Mme Marty placée jusqu'à cette époque sur le tabernacle de l'autel de la ste Vierge en a été enlevée selon les recommendations qui en avaient été faites par Mgr Delalle; et a été placée supportée par une console à l'entrée du chœur, de côté de la chapelle de Ste Anne" (p. 57).

En 1880 Mgr Bourret a déclaré que "l'église n'avait aucune valeur comme église ... Il fallait donc la refaire à neuf et transférer au bas du village dans le col de la montagne" (p. 65). C'était la réponse au dilemme qui perturbait les paroissiens depuis plus d'une décennie. La fabrique a lancé une souscription et la nouvelle église a été bénie en octobre 1884.

En 1894, Mgr Bourret, maintenant cardinal, est revenue à Panat. "Il a été prescrit de dresser une croix au milieu du cimetière"; et le cardinal a donné des "ordonnances relatives au crépissage extérieur de l'église, quelques réparations du clocher, la conservation du vieux presbytère, etc." (p.80). Il se peut que la croix ait été installée; mais le crépissage ne s'est jamais fait. Finie l'inspection, l'évêque exhortait toujours les paroissiens assemblés à se conduire en bons Chrétiens. La politesse exigeait qu'il se repose quelques minutes dans le presbytère, avant de partir soit en direction de Rodez, soit vers une autre paroisse du Vallon.

Voilà les cinq visites paroissiales comme les racontent l'abbé Besse et l'abbé Cayron dans le Livre de la paroisse de Panat. À ces renseignements nous ajoutons, en décembre 2012, des renseignements tirés des archives de l'évêché de Rodez:

1698, Boëry, curé: "Le même curé rapporte que Mgr Louis Philippe de Lusignan [évêque de Rodez] fit la visite de Panat le 26 juin 1698, accompagné du vicaire général, de deux archidiacres et d'une nombreuse suite. Il y avait, dit-il, dix sept chevaux. Le lendemain il visita celles de St-Christophe, de Valady, de Clairvaux et de Bruéjouls." (p. 13)

1839, Besse curé: "L'an 1839, et le vingt deux avril, Mgr Pierre Giraud, évêque de Rodez, accompagné de M.M. Caubel, chanoine et vicaire général, Debord, secrétaire particulier, Bion, Chauchard et d'une nombreuse suite de prêtres, est arrivé à onze heures et demi du matin pour faire la visite pastorale de Panat. Sa Grandeur, à son arrivé, est entrée d'abord au cimetière, et en ayant trouvé les murailles trop basses, il a recommandé d'une manière expresse soit aux paroissiens, soit à M. Cabrol, adjoint du maire, de les exhausser au moins d'un pied. Après, sa Grandeur s'est rendue dans le lieu saint, et y ayant fait sa prière, il l'a parcouru dans tous les sens et en a examiné attentivement toutes les parties. Elle a ensuite examiné dans le plus grand détail les chapelles, les autels, les rétables, les pierres sacrées, les fonts baptismaux, les bénitiers, le confessional, la chaire, les balustres, les lampes, le lutrin, les bancs, les ornemens, les vases sacrés, le reliquaire, les croix et les encensoirs, les linges d'église, les livres de chant et les missels, et tout ce qui est nécessaire au culte divin. Il a examiné tous ces objets en détail, et comme les bouquets de la chapelle de Notre Dame étaient un peu anciens, le prélat a engagé les demoiselles à les renouveller. M. le curé a dit alors à Mgr que son désir allait être incessament rempli, les personnes qui devaient le lendemain recevoir le sacrement de confirmation ayant déjà donné de l'argent pour les remplacer. Sa Grandeur a ensuite parlé aux fidèles, les a loués de leur zèle pour la décoration de l'église, et a exhorté les parens à réunir leurs enfans auprès d'eux les saints jours de dimanche et de fête, et à leur rappeler les vérités de notre sainte religion. Enfin, il nous a donné sa bénédiction, et après l'action de grâces, le prélat, après le repos qu'il a pris chez M. le curé, et trois heures trois quarts de séjour à Panat, s'est dirigé vers Balzac. "Le lendemain de sa visite, Mgr a donné la confirmation à Clairvaux." (pp. 20-21).

1846, Besse, curé: "L'an 1846, et le vingtième jour du mois de mai, Monseigneur Jean-François Croizier [lire: Crozier], évêque de Rodez, accompagné de M.M. Grimal et Caubel, vicaires généraux et de M. Laussié, secrétaire particulier, et de plusieurs autres prêtres, est arrivé de Balsac à Panat à cinq heures du soir pour faire la visite pastorale de cette paroisse. Sa Grandeur a visité, en arrivant, le cimetière, puis elle est entrée dans le lieu saint; après y avoir fait la prière, il l'a parcouru dans tous les sens et en a examiné attentivement toutes les parties. Elle a ensuite examiné dans le plus grand détail les chapelles, les autels, les rétables, les pierres sacrées, les fonts-baptismaux, le confessional, la chaire, les lampes, le lutrin, les bannières; puis le prélat est entré dans la sacristie où il s'est fait représenter les vases sacrés, le reliquaire, les croix, et les encensoirs, tous les ornements et linges de l'église, les livres de chant et les missels, et tout ce qui est nécessaire au culte divin. Il a examiné tous les objets en détail, et ayant trouvé que le ciboire était trop petit, il a engagé les fidèles de Panat à s'en procurer un autre qui fut d'une plus grande dimension.

"Sa Grandeur a ensuite adressé la parole aux fidèles, les a loués de leur zèle pour la restauration du cimetière et la décoration de leur église, les a engagé à sanctifier leurs travaux en les faisant en vue de Dieu et de la récompense qu'il a promise à ses fidèles serviteurs, à s'approcher souvent, avec des saintes dispositions, du sacrement de l'Eucharistie qui est un gage de la vie éternelle, et à vivre entièrement avec tout le monde [46] dans une parfaite union. Enfin, Mgr a donné sa bénédiction, et après avoir récité un De profundis pour les morts, il est sorti de l'église et est entré dans le presbytère, qu'il a aussi visité et trouvé dans un assez bon état" (pp. 45-46).
"L’église de Panat est assez régulière, longue, étroite, décente, ayant deux chapelles; le maître autel est bien décoré. Le presbytère est un peu éloigné de l’église. Après la visite de cette église et du château bien situé et élevé mais [illisible], Mgr est parti pour Rodez où il est arrivé assez avant dans la nuit et par la plus mauvais temps qui puisse s’imaginer."

1868, Besse, curé: "L'an mil huit cents soixante huit et le vingt six avril, Monseigneur Louis-Auguste Delalle, évêque de Rodez, accompagné de M. Sabatier, vicaire général, et de M.M. les curés de Valady, de Clairvaux, de Bruéjouls et de Balsac, est arrivé de Balsac à Panat à trois heures du soir pour faire la visite pastorale de cette paroisse. Sa Grandeur, en arrivant, est entré au cimetière, qu'elle a trouvé en règle. Ensuite elle est entrée dans le lieu saint; après y avoir fait sa prière, il l'a parcouru dans tous les sens et en a examiné attentivement toutes les parties. Elle a ensuite examiné dans le plus grand détail les chapelles, les autels, les rétables, les pierres sacrées, les fonts baptismau[x], le confessional, la chaire, les lampes, le lutrin, les bannières; puis les vases sacrés exposés sur le maître-autel, et les ornemens étalés dans le sanctuaire; enfin, les livres de chant et les missels. Le prélat, après ce minutieux examen, a dit que la statue de ste Germaine devait être placée dans un endroit plus apparent que celui où elle avait été placée par les propriétaires du château, que la statue de la ste Vierge devait être aussi ôtée de dessus le tabernacle, ou du moins qu'on ne devait pas dire la Messe à cette chapelle; que la voûte de la nef devait être relevée et mise de niveau avec celle du sanctuaire; Monsieur le curé et M.M. les fabriciens ont répondu à Monseigneur qu'ils avaient pris déjà une délibération pour cela, mais que l'exécution de cette réparation avait été ajournée jusqu'à ce que la fabrique eut au moins la moitié des fonds nécessaires. Puis M. Sabathier, au nom de Monseigneur, a exhorté les fidèles à la sanctification du dimanche en assistant le matin et le soir aux offices de la paroisse, et en fréquentant les sacremens, et à une parfait union entr'eux et avec tout le monde. Enfin, Monseigneur nous a donné la bénédiction, et après s'être reposé au presbytère quelques instants, il nous a quittés à cinq heures, se dirigeant vers Valady." (pp. 51-52).

1877, Cayron, curé: "Le vingt-neuf juin 1877 M. Azémar, curé de Valady, vicaire forain, et M. de Bourg___, [illisible], curé de Fijaguet, pro-vicaire forain du district de Valady, ont fait la visite de l'église de st Julien de Panat, M. Cayron Émile étant alors curé de cette paroisse. Ils ont visité l'église, la sacristie, le presbytère, et ont fait le rapport de leur visite." (p. 63).

1880, Cayron, curé: "Le 18 juillet Monseigneur Bourret, évêque de Rodez, s'étant rendu à Nuces pour bénir l'église qui vient d'être bâtie dans cette paroisse nouvelle, et nous a érigée encore en succursale, est allé de là à Panat accompagné de son vicaire général M. Noguéry. Il y est arrivé vers les 5 1/2 heures pour en repartir une heure après. Pendant ce temps il a examiné les lieux et s'est rendu à l'église qu'il a également examinée. Puis il a adressé quelques paroles sous forme de conversation aux fidèles qui s'y trouvaient réunis, les hommes n'étant pas en bien grand nombre. Il y avait parmi les fabriciens MM. Causse, Palayret, Foulquier, Cayron curé. Deux étaient absents. Il a dit que l'église n'avait aucune valeur comme église et qu'elle ne pouvait supporter aucune réparation, pas même un clou. Il fallait donc la refaire à neuf et transférer au bas du village dans le col de la montagne." (p. 65).

1894, Cayron, curé: "Le 27 mars de l'année 1894 son Éminence le cardinal Bourret, évêque de Rodez et de Vabres, accompagné de M. Joly, vicaire général, de M. [Charles] Ginisty, secrétaire particulier, et de plusieurs autres prêtres, est arrivé de Nuces vers les trois heures du soir pour faire la visite pastorale de la paroisse de Panat et donner la confirmation aux enfants de cette paroisse au nombre de 20, dix garçons et dix filles. Il a esté reçu par toute la paroisse qui s'était portée à son devant. Sur le parcourt [sic] des arts [lire: arcs] de triomphe avaient été dressés. On y lisait aussi plusieurs inscriptions en l'honneur du cardinal. On s'est dirigés [sic] processionnellement dans l'église, où M. le curé lui a présenté l'eau bénite et l'encens et lui a adressé le compliment d'usage. Son Éminence lui a répondu en faisant l'éloge de l'église qu'il trouva très-belle et qui était d'ailleurs [80] décorée pour la circonstance avec un goût exquis. Son Éminence est ensuite monté au sanctuaire [?] pour y faire sa prière. Avant de procéder à la confirmation, elle a confié le soin d'interroger les enfants à son grand vicaire. Celui-ci a été très satisfait des réponses des enfants. Enfin son Éminence a confirmé ces enfants. Après, elle a fait la visite des autels, des fonts-baptismaux et son Éminence est allé se reposer à la maison qu'a fait construire M. le curé. Pendant ce temps le grand vicaire a fait l'absoute des morts au cimetière. Il a été prescrit de dresser une croix au milieu du cimetière et de le diviser par deux allées transversales et perpendiculaires.

De retour dans l'église son Éminence est montée en chaire et a adressé une instruction familière à la paroisse, recommandant surtout la récitation du chapelet, la prière en famille, l'assistance aux offices, l'esprit de paroisse et beaucoup d'autres recommendations. En sortant de l'église il s'est dirigé vers la maison du curé, bénissant sur son passage les enfants qui lui étaient présentés. C'est là qu'a été dressé le procès-verbal de la visite pastorale et les ordonnances relatives au crépissage extérieur de l'Église, quelques réparations du clocher, la conservation du vieux presbytère, etc."

Enfin, son Éminence s'est dirigée sur Clairvaux." (pp. 79-80).

"Règlements et ordonnances (suite à la visite de mars 1894)
Article 1er
Cette église que nous avons visité il y a peu d’années est une jolie construction de style roman très agréable et en bon état. Il presse assez de la faire revêtir à l’extérieur d’un bon crépissage pour combattre l’humidité et la détérioration des pierres, dont plusieurs sont gélées. On pourrait faire cette opération de pierre [sic] vue de manière à ne couvrir que les joints et les angles des pierres qui n’ont pas de face géométrique. Le vent a aussi emporté plusieurs ardoises de la flèche du cloché [sic]. Il faut avoir soin de les clouer en plusieurs endroits pour qu’elles ne glissent plus. Le mobilier est convenable et bien tenu. Nous signalons cependant les gros meubles en bois tels que la chaire, le confessionel, les fonts baptismaux qui ont besoin d’être peints et filetés d’or pour qu’ils flattent d’avantage la vue. Un certain nombre de chaises sont aussi à renouveler ou réparer. On se procurera aussi un chevalet pour l’absoute des morts, une piscine pour se purifier les doigts à l’autel en métal blanc, des vases d’argent pour les saintes huiles assez grands et assez larges, et une burette assez propre pour verser l’eau baptismale.
Article II
On établira dans le nouveau cimetière une croix processionnelle au centre de deux allées perpendiculaires.
Article III
On fera relier en volumes distincts et séparés la collection de mandements des évêques nos prédécesseurs et les _______ que les vieux registres en papier, s’il en existe, qui ne soient pas reliés. On déposera le tout dans une armoire [ou] une caisse à trois clefs. [La fabrique a obéi, mais un peu lentement: les comptes pour 1906 révèlent que la fabrique a payé 10 francs "pour reliure des mandements."]
Article IV
Le presbytère paroissial est distinct de la maison [illisible] de M. le curé, qui est sa propriété personnelle. Nous prévoyons [?] que la manse [?] curiale soit tenu dans un bon état [??] et de propreté, afin qu’un nouveau curé puissent s’y installer facilement si la paroisse venait à entretenir [?] un nouveau. Ce presbytère appartenant à la fabrique celle-ci pourra y installer les soeurs si elle le juge à propos. Ce serait d’ailleurs un moyen très utile à tenir l’immeuble paroissial en bon état et en même [temps?] de rendre service à l’enseignement chrétien des jeunes filles.
Article V
L’état religieux de la paroisse, sans être mauvais, laisse cependant à désirer. On nous signale une dizaine d’abstentions, ce qui est trop dans une paroisse dont la population est peu nombreuse. Nous recommandons la prière du soir en commun, la récitation du chapelet en commun à l’aller et au retour des travaux, l’assistance aux offices paroissiaux par les villages éloignés, la fidélité à l’office de vêpres, et la récitation du catéchisme et la séance [?] paroissiale [?] _______" (Archives de l'évêché, Rodez)

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