Introduction 1) La Route royale 2) La "Grande Rampe"; 3) "Le chemin numéro 17"
Il n'y en a point pour l'Introduction:
1. Le comte d'Adhémar racontait souvent que son grand-père avait fait son possible auprès des autorités pour faire passer le chemin de fer par Panat et Clairvaux, et non pas par Nuces et Marcillac!
2. Rapports de M. le Préfet ... et Procès-verbaux, 1840, p. 90. Digitalisations disponsibles grâce à Gallica.fr, en cherchant (par Google) les mots "rapports" "conseil general" et "Aveyron." Cela devra aboutir à la page suivante: http://gallica.bnf.fr/Search?ArianeWireIndex=index&p=1&lang=EN&q=rapports+conseil+general+aveyron).
3. Voir aussi Procès-verbaux, 1842, p. 160, qui place Saint-Christophe dans une de ces lacunes.
4. André Meynier, Ségalas, Levézou, Châtaigneraie: Étude géographique (Aurillac, 1931), p. 160.
5. Quelques phrases tirées de l'étude d'André Meynier, Ségalas, Levézou, Châtaigneraie: Étude géographique (Aurillac, 1931) permettent d'encadrer dans un schéma plus large nos quelques données sur la lente élaboration de la "Grande Rampe" de la "Côte de Panat." Meynier note qu'au XVIIIe siècle, "sur les grandes artères de circulation générale, on greffa des voies d'intérêt régional. ... Au moment des crises économiques on fit entretenir par des ateliers de charité ... les sections les plus intéressantes d'itinéraires restés jusque-là à l'abandon. ... Quant aux chemins intéressant ce que nous pourrions appeler la circulation locale (transport des denrées de la maison aux villages-marchés ou inversement) et la circulation rurale (du champ à la maison), ils étaient laissés à l'initiative des paroisses et des particuliers et se trouvaient dans un tel état que la moitié de l'année toute circulation était impossible (p. 169). Pour le projet de faire une "Grande Rampe" à Panat — un projet d'intérêt local — les authorités royales avaient l'intention de faire appel, en 1781, à un établissement d'assistance publique qui faisaient travailler des pauvres ou des sans emploi.
6. Procès-verbaux, 1865, p. 283 (et aussi p. 145).
6. Procès-verbaux, 1865, p. 283 (et aussi p. 145).
7. On voit au premier plan les ruines de la maison romane qu'on est en train de détruire pour récupérer la pierre. La maison du curé, construite avec ces pierres, n'existe pas encore. On y voit aussi le "chemin no 17," flambant neuf, ainsi que le vieux chemin muré qui descend vers la droite à la Frégière et qui est coupé par la nouvelle route.
8. On y voit la maison du curé, bénie en juillet 1892 selon le Livre de la paroisse de Panat.
9. Ce chemin a été "classé par arrêté préfectoral en date du 13 septembre 1851, longueur total 28.422 m." En 1878, des "lacunes" de 2.542 m. restaient à combler, et 699 m. étaient "en construction" (1878, p. 300).
10. Nous n'avons pas pu identifier le "profil no 64," mais la longeur de ce tronçon plus large — et exceptionnellement plat — correspond à la distance entre Serres et Panat. La route est effectivement plus large entre Serres et l'église, et ce tronçon est bordé par a une belle muraille. (En revanche, dans le tronçon de la route qui descend vers la Frégière, ce genre de muraille fait défaut.) Ensemble, cet élargissement et cette muraille rendraient plus sûre la promenade des paroissiens entre Serres et Panat.
First published as http://ranumspanat.com/Panat_desenclave.htm